Seul livre sur le réalisateur de La Nuit nous appartient ou Two Lovers, réimprimé pour le festival Lumière
James Gray de Jordan Mintzer (ed. Synecdoche)
Le premier beau livre sur James Gray, l’un des réalisateurs américains les plus doués de sa génération, qui a su tracer un chemin unique à la frontière du cinéma indépendant et des studios d’Hollywood. 50 heures d'entretiens exclusifs avec James Gray, ses acteurs fétiches et ses techniciens fidèles. Une plongée inédite à la découverte de son oeuvre. Préface de Jean Douchet. Introduciton de Francis Ford Coppola.
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Dernière biographie du cinéaste français pour explorer son œuvre sous tous ses aspects
Louis Malle dans tous ses états sous la direction de Philippe Met (ed. Les Impressions nouvelles)
La carrière de Louis Malle est ici replacée — de la manière la plus juste possible — au sein de contextes multiples : l’histoire du cinéma français, l’industrie hollywoodienne, le cinéma américain indépendant, la production internationale. L’ouvrage évoque aussi la question de l’adaptation, et plus généralement, l’histoire littéraire et intellectuelle ; les rapports entre le cinéma et la musique ; le documentaire et la fiction ; les relations sociales et les soubresauts de l’histoire.
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Une préiode étonnante de la carrière de Malle, racontant son périple en Inde pour y tourner deux documentaires
L'Inde fantôme - Carnet de voyage de Louis Malle (ed. Gallimard)
Après un premier voyage en Inde en 1967, Louis Malle n'aura de cesse de retrouver ce pays. Il y retourne en janvier 1968, « résolu à changer de vie et de cinéma », avec une équipe restreinte : un preneur de son, un cadreur. La durée du séjour est indéterminée. Le projet : faire un film subjectif et libre sur l'Inde, sans scénario, sans fiction, et surtout sans idée préconçue, avec deux modèles puisés non dans l'histoire du cinéma mais dans celle de la littérature : le Journal de voyage en Italie de Montaigne et L'Afrique fantôme de Michel Leiris.)
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Le plus mauvais cinéaste de l’Histoire vous explique comment devenir du star (ou presque)
Comment réussir (ou presque) à Hollywood – Les conseils du plus mauvais cinéaste de l'Histoire d’Ed Wood (ed. Capricci)
Dans Ed Wood, Tim Burton et Johnny Depp ont rendu en 1994 un hommage vibrant à sa poésie approximative, son amour du cinéma et sa passion des pulls angora. Écrit en 1965, ce livre révèle une autre facette du cinéaste. Il donne des conseils précis et documentés. Le ton est féroce, vif, parfois méchant. L’ironie pointe au détour de chaque phrase. Comment l’homme dont la carrière fut un échec peut-il s’ériger en guide parmi les méandres hollywoodiens ? C’est tout le paradoxe et le sel de cet « Hollywood pour les Nuls » unique en son genre.)
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Un bel objet qui replonge dans les coulisses de l’un des plus gros chocs du cinéma français
La Haine fac-similé du scénario de Mathieu Kassowitz (ed. Maison CF)
Ce livre est le fac-similé du scénario, illustré par des images en couleurs, du film La Haine, sorti sur les écrans en 1995 et qui a marqué toute une génération. Document d’émotion, il contient une cinquantaine de polaroïds couleurs, portraiturant les acteurs pour les besoins de raccord des scènes, et qui sont les témoins de la particulière ambiance de cette équipe in situ, ainsi qu’un extrait de storyboard.
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Études d’un diamant noir dont l’obscure clarté illumine le firmament du cinéma depuis 25 ans
Le purgatoire des sens, Lost Highway de David Lynch de Guy Astic (ed. Rouge profond)
Ce film de David Lynch a tout du purgatoire. Entre excès et tensions incandescentes, abstraction et figuration ne cessent de s’aimanter et de se repousser, dans un déploiement d’énergie formelle d’autant plus retentissante qu’elle a pour cadre un monde essoufflé, une histoire déprimée. Bréviaire vertigineux de la perception, Lost Highway plonge dans l’intimité de l’image pour amener la sensibilité à s’ouvrir.
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Ouvrage parallèle de la sortie en salles du documentaire présenté en avant-première à Lumière 2022
Riposte féministe de Simon Depardon et Marie Perennès (ed. Seuil)
La nuit, armées de feuilles blanches et de peinture noire, elles collent des messages de soutien aux victimes et des slogans contre les féminicides. Certaines sont féministes de longue date, d’autres n’ont jamais milité, mais toutes se révoltent contre ces violences qui ont trop souvent bouleversé leurs vies. Le sexisme est partout, elles aussi ! Préface d’Elvire Duvelle-Charles et postface de Claudine Nougaret.
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Cinéaste mise à l’honneur lors du premier festival Lumière, Germaine Dulac fut aussi une écrivaine et essayiste sur le cinéma
Qu'est-ce que le cinéma ? de Germaine Dulac (ed. Light Cone)
Près de 75 années après sa conception, voici la première édition de Qu’est-ce que le cinéma ? de Germaine Dulac. Composé des nombreuses conférences de la cinéaste (1925-1939) assemblées par sa partenaire Marie-Anne Colson-Malleville et préservées dans les archives de Light Cone, cet ouvrage éclaire le rôle majeur de cette pionnière de l’avant-garde française, innovatrice de la pensée cinématographique moderne, qui théorisait déjà, dès les années 1920, ce qu’est le cinéma.
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Un livre sur les actrices, mais pas n’importe lesquelles : les bizarres, les méchantes, les trash, les punks, les cool, les marginales
Actrices-sorcières de Thomas Stelandre (ed. Capricci)
Asia Argento et Béatrice Dalle, Margaret Hamilton du Magicien d’Oz, la Catwoman des sixties Eartha Kitt, Sheryl Lee sacrifiée sur l’autel de Twin Peaks, l’anomalie Jennifer Jason Leigh, Jeanne Moreau période fauchée, Rose McGowan avant #MeToo, Tilda Swinton et ses milles visages ou Sean Young, l’androïde grillé de Blade Runner. Voici leurs histoires, intimes et collectives, racontées d’un point de vue allié, lui-même nourri par le cinéma indépendant et la littérature, les études féministes, les mythes et la culture pop.
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Un livre bilan d’un grand tour d’Europe des salles de cinéma indépendantes
Cinema Makers – Le nouveau souffle des cinémas indépendants de Mikael Arnal et Agnès Salson (ed. Capricci)
Dans ce livre, Agnès Salson et Mikael Arnal ont réuni 22 rencontres dans 13 pays différents. En Espagne, en Grèce, en Slovénie, en Allemagne, aux Pays-Bas… A chaque escale, vous lirez les témoignages de passionnés qui cherchent à faire de leurs lieux des espaces de projection, mais surtout des endroits de sociabilité et de création. Partout, des énergies redessinent les vieux schémas de l’exploitation cinématographique avec une audace et une imagination débridées.
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Un regard sur 19 mois d’occupation du dernier cinéma associatif et indépendant parisien
La Clef, cinéma occupé de Vivien Le Jeune Durhin et Antonin Faurel (ed. Les Éditions Autonomes)
Paris, 20 septembre 2019, plusieurs collectifs et indépendants se réunissent au sein de l’association Home Cinéma et décident d’occuper illégalement le cinéma La Clef de manière citoyenne et désintéressée. L'édition propose une lecture de cette aventure par deux graphistes auteurs dont le parcours est lié à l'occupation de La Clef. Un livre-objet singulier de grandes dimensions qui propose un voyage immersif au cœur d’une expérience collective et du combat pour la survie du dernier cinéma associatif parisien
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Le nouveau numéro de la revue consacrée à l’actualité des films d’hier !
Revus & Corrigés n°16 : Gamins à l’écran Le monde à leur auteur, de Truffaut à Monstres et Cie
Et aussi : Douglas Sirk – période allemande, Louis Malle, Margarethe Von Trotta en quatre films, les dix ans d’Amour, filmer les odeurs...
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La revue de l'équipe lyonnaise de Rockyrama consacrée à la culture japonaise
Otomo n°10 : Pink ! Plongée au cœur de l’érotisme japonais
Du pinku eiga (cinéma érotique nippon) aux héroïnes pulpeuses et sulfureuses de Tsukasa Hojo (Cat’s Eyes, City Hunter), ce numéro vous entraîne sous le déluge de néons du quartier chaud de kabukicho, à la découverte de cette culture de l’érotisme solidement ancrée dans l’imaginaire japonais.
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Adapté au cinéma avec Meiko Kaji à retrouver sur grand écran au festial Lumière 2022 !
Lady Snowblood – L'intégrale de Kazuo Koike et Kazuo Kamimura (ed. Kana)
Une mère de famille assiste impuissante aux meurtres de son époux et de son fils, avant de connaître elle-même un triste sort. Après avoir tué l’un de ses agresseurs, elle finit en prison, où elle donne naissance à une fille, Yuki, qui, en guise d’unique héritage, va recevoir la beauté… mais surtout la vengeance, sa seule raison d’être.
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